La mort se fout éperdument de ses victimes
Qu’elles soient vieilles, jeunes ou non-nées
Elle les entraîne, sans sélection, dans ses abîmes
Laissant derrière elle le néant, la tristesse et la pitié
Mais ce n’est pas la victime qui est la plus à plaindre
Ce sont les survivants, l’entourage, les amis, la famille
Qui doivent en pâtir le plus, pour lesquels il faut craindre
Car ils se retrouvent seuls, attristés, affaiblis et meurtris
On ne peut malheureusement pas lutter contre la mort
Comme on ne peut y remédier, elle fait partie de la vie
Il ne nous reste rien d’autre que de l’accepter, rester fort
Et attendre notre tour, car chacun d’entre nous sera choisi
Y a-t-il une vie après la mort, avons-nous la possibilité
De retrouver nos défunts, aurions-nous cette chance ?
Et ainsi leur montrer à quel point nous les avons pleurés ?
Voici la question, à laquelle chacun doit trouver sa réponse.
A la mémoire de Grzeziu, dont la flamme s’est éteinte le 20 septembre 2004, à l’âge d’à peine 22 ans. Puisse-t-il reposer en paix.
ouch my
freind
died into
a car wreck
to so i can
relate to
this poem :*(
but it was worth
the writing about it .
lovely
flowing words :*)