C'est une petite forêt tranquille
Epargnée par l'hiver, baignant dans l'été
Le soleil inonde une clairière, petite île
Ou s'achève sombrement une épopée
A l'endroit ou se croisent les chemins
Les regards haineux se croisent
Et pour un joyau rouge, l'un y perdit sa main
Ainsi que la source de son extase.
C'est une petite clairière silencieuse
Où l'on pu ce jour la apercevoir,
Scintillant sur des cailloux d'ivoir
Des milliers de petits rubis
Tombés de celui, qui, tantôt
Perdit l'un de ceux-ci, ainsi que sa vie.