Nontiscordardimé

Du sang coule de bien haut, d’un rouge nuage

Qui poursuit mon ombre à travers les profondeurs

De la nuit, le jour ayant perdu sa couleur.

Me voilà seul, pour compagne ma douce rage…



J’essaie de raisonner, mais il y a trop de bruit!

Mon cœur se démène tel un prisonnier,

Et je me noie dans cette pluie ensanglantée.

Et ainsi je vois flétrir ma belle-de-nuit.



Je me pensais à ma place dans ton jardin

Après avoir bu ton séraphique venin,

Mais la source de bonheur fut vite tarie…



E ti chiedo perdono mon ange chéri,

Me voilà incliné, veuille bien accepter

La plus sublime des nontiscordardimé...

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