Comme une valse cerner,
Pétrit dans cette masse de glaise,
Tirailler par mes émotions,
La trinité du vide,
Projeter sur un écran vacant…
La salle est vide,
Ces trois personnages,
Je les connais si bien,
C`est encore moi
C est homme qui a la peau sur ces os.
Cette femme accrocher a mon bras,
Briser aux genoux ensanglantés,
Innocence, jeunesse qu’elle n`a jamais connut,
C est encore moi,
Suspendu dans le vide…
Et ce vieillard qui refuse la certitude,
Fébrile, accrocher au néant,
La main posée sur mon épaule,
C est encore moi,
La trinité du vide…
Et cette œuvre, Ravager
Comme une plaie ouverte,
Ou la vie crache son venin,
C est encore moi !
Maudite peut être, mais moi je l` aime….
Copyright@H.NaudetDitMargot.