Je ne peux prétendre et dire que je t’aime
Je ne pourrais écrire et décrire cette plaine
Et la vitesse du sang qui court dans mes veines
Parce que la photo de cette heureuse semaine
A fait ko aux cœur, à l’âme et à moi-même
En voyant tes cheveux balancés
Je souhaite être tes épaules chauffées
En regardant tes beaux yeux allumés
Je souhaite être l’image regardée
Et demander le temps de s’arrêter
Si je descends et je regarde sous l’habit
Une belle poitrine hésitant et qui sourit
Secrètement, timidement et qui me dit
Viens voir, tu me manques mon ami
Si longtemps je t’ai attendu, viens je t’en prie.
Sous cette douce pression pleine de perversion
les tétons deviennent des sources chaudes en ébullition
Une langue dansant autour de ses doux tétons
et les pulsions sont à leur combles sous les délicieux suçons
Je suis faible devant et je reste sous cette bénédiction.
Si je tends la main, c’est le ciel que je vais toucher
Les nuages sont si doux qu’on peu rêver
Tellement molle qu’il me semble être comblé
Et c’est le bonheur déjà qui m’entourait
Et je redemande au temps encore de s’arrêter.
02/12/08